Vendredi lecture avec Alexandra Lapierre

   

Le parcours exceptionnel d'une femme dans le bouillonnement culturel et politique de la Renaissance italienne.

En 1611, à Rome, dans un atelier du quartier des artistes, la jeune Artemisia se bat avec fureur pour imposer son talent. Son adversaire le plus redoutable n'est autre que son père, son maître, le célèbre peintre Orazio Gentileschi. Il voudrait cacher au monde la sensualité et surtout le génie de sa fille. Mais la vie va bouleverser ses plans...

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A lire l'avis de Niki à ce sujet... Il n'était pas très positif mais je n'ai pas pu résister à ce livre dans la boutique du musée maillol...

Edito post lecture: Quelle déception! Tout était pourtant là pour me séduire: Enfin un roman qui aurait eu pour héroïne ma peintre préférée. Car Artemisia est fascinante:tant par son parcours d'artiste à une époque où seuls les hommes peuvent entrer à l'Académie de dessin, que par sa construction identitaire en tant que femme (la mort de sa mère enfant, la relation complexe avec son père Orazio, le procès pour viol...). Une femme tout en contraste clair/obscur! Malheureusement, je ne suis pas du tout convaincue par le style d'Alexandra Lapierre qui ne véhicule aucune émotion. Si le livre est extrêmement bien documenté, le ton distancié ne transmet pas la force des peintures d'Artemisia. Les pages ne m'ont pas fait palpiter comme les toiles de l'artistes savent si bien le faire. J'ai récidivé avec l'excessive, pour savoir si ce n'était pas le sujet d'Artemisia Gentileschi qui me tenant trop à coeur m'avait empêché d'apprécier ce roman.... Deuxième échec ! Le sujet encore une fois était bien trouvé: le chevalier d'Eon!  Ce livre m'a laissé le même goût un peu fade malgré les aventures trépidantes du personnage.

Pour en savoir plus sur Artemisia... c'est par là!

Comments

[niki]

même un avis peu positif peu donner envie de lire un roman - cela m'arrive très souvent :D