paulo coelho

Le grand dessinateur de bande-dessinée Jean Giraud, père du légendaire blueberry,  plus connu sous le pseudonyme de Moebius est décédé hier.   L'artiste a notamment été l'un des grands influenceurs des comics (avec le surfer d'argent pour lequel il a collaboré avec Stan lee en 1988) . Son style oscillait entre simplicité et recherche graphique très approfondie mais ayant souvent en commun d'être employés au service de la science fiction. Les amateurs de Paolo Coelho auront également remarqué son talent d'illustrateur... [Lire la suite]

"C'est justement alors que sont écrits les livres, peints les tableaux, parce que nous ne voulons pas et que nous ne pouvons pas oublier qui nous sommes." Paolo COELHO, Onze minutes

"Les montagnes russes, c'est ma vie. La vie est un jeu violent et hallucinant; la vie c'est se jeter en parachute et prendre des risques, tomber et se relever, c'est de l'alpinisme, c'est vouloir monter au sommet de soi-même et être insatisfait et angoissé quand on n'y parvient pas." Paulo COELHO, Onze minutes

"Une danse divine. Quand nous nous rencontrons, nous sommes deux énergies divines, deux univers qui s'entrechoquent. S'il manque à cette rencontre la différence nécessaire, un univers détruit l'autre." Paulo COELHO, Onze minutes

"C'est curieux, quand on habite une ville, on reporte toujours son exploration à plus tard, et en général on demeure dans l'ignorance." Paulo COELHO, Onze minutes Edith GÉRIN (1910-1998)Le passant du pont des arts, Paris, 1949

"Je suis deux femmes: l'une désire connaître la joie, la passion, les aventures que l'existence peut lui offrir, l'autre est esclave de la routine, de la vie de famille, des menus actes qui peuvent être planifiés et accomplis. Je suis dans le même corps la maîtresse de la maison et la prostituée, l'une luttant contre l'autre. " Paulo COELHO, Onze minutes

"Elle n'était pas une victime du destin, se répétait-elle à chaque minute: elle prenait des risques, se surpassait, vivait des événements que, dans le silence de son cœur, aux jours qui de sa vieillesse, elle se rappellerait avec une certaine nostalgie - aussi absurde que cela puisse paraître." Paulo COELHO, Onze minutes 

"Il me suffit de l'aimer, d'être avec lui en pensée, et que ses pas, ses mots, sa tendresse donnent des couleurs à cette ville si belle." Paulo COELHO, Onze minutes

"Certains livres nous font rêver, d'autres nous rappellent la réalité, mais aucun ne peut échapper à ce qui est primordial pour un auteur: l'honnêteté avec laquelle il écrit." Paulo COELHO, Onze minutes